tag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post4803612106003461540..comments2023-03-24T07:27:11.012-04:00Comments on FacteurPub: Le monde est MadMathieu Bédardhttp://www.blogger.com/profile/09959471988368196886noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-50701074083332340672010-09-05T14:07:31.108-04:002010-09-05T14:07:31.108-04:00Je dirais qu'ils font tout sauf s'assumer,...Je dirais qu'ils font tout sauf s'assumer, dans cette émission. En passant, j'adore cette série.Constancehttp://www.constanzee.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-45993154221947941862010-09-05T14:03:38.278-04:002010-09-05T14:03:38.278-04:00Hélène, je n'ai jamais dit que c'était pir...Hélène, je n'ai jamais dit que c'était pire avant, au contraire, je dis que c'est une excuse que certaines personnes se donnent aujourd'hui pour se contenter de leur piètre niveau de vie, en mode urbain bien sûr. Je crois qu'on se pense bien bons et évolués, quand bien souvent, comme je le dis dans le billet, on arrive mal à assumer nos réels désirs, rectitude politique oblige. Je te dirai néanmoins, pour avoir vécu les 20 dernières années sur le marché du travail, que la présence accrue d'Internet, des médias sociaux et des téléphones intelligents rend le simple fait de «décrocher» un peu plus dur qu'avant. Mais bon, tout ça s'applique à la ville, car pour le reste, je n'en sais rien. Je suis donc d'accord avec toi, mais je crois avoir été mal compris, ou m'être mal exprimé. Tu me fais toujours un peu bidonner avec tes allusions au passé, comme si je n'étais pas conscient des effets de balanciers et que je n'avais aucun recul sur le plan sociologique, tsé Hélène, nous ne sommes que des poussières, la tienne datant légèrement plus que la mienne ;)Mathieu Bédardhttps://www.blogger.com/profile/09959471988368196886noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-44384662912544183882010-09-05T14:01:35.224-04:002010-09-05T14:01:35.224-04:00Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.Mathieu Bédardhttps://www.blogger.com/profile/09959471988368196886noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-42206527964908174322010-09-05T11:57:16.176-04:002010-09-05T11:57:16.176-04:00Non, Mathieu, ce n’était pas pire avant, c'éta...Non, Mathieu, ce n’était pas pire avant, c'était <i>pareil</i> avant. Enfin, tout dépendant de ce que tu appelles « avant »… je ne me hasarderai pas à commenter le rythme de vie du monde médiéval. Je vois une exception dans la montée de l’opinion de droite, peut-être, qui m’apparaît en effet un changement. Mais le reste de ce que tu décris, le monde à la course, le stress destructeur, la place disproportionnée de l'apparence, l’hypocrisie de la société… je suis bien certaine que tu pourrais retrouver ton commentaire quasi mot pour mot dans des billets écrits il y a trente ans (je les ai lus), cinquante ans, soixante-quinze ans. Tout le XXe siècle après la première guerre, c'est certain. Et je ne serais pas étonnée qu’il soit possible de trouver des opinions similaires remontant même au XIXe siècle. Il y a toujours eu des gens que les circonstances amènent à vivre davantage dans l’instant et d’autres qui arrivent à s’en dégager. Par un moment de réflexion sous la douche ou en berçant un Tout-Petit dans le silence de la nuit. Et qui retombent dans le tourbillon le lendemain. <br /><br />J’ai rencontré dans un petit village du Saguenay une femme qui me disait à quel point elle appréciait sa nouvelle vie, loin de l’excitation de la ville. Quelle ville, j'ai demandé… Montréal ? Québec ? Non, non, Chicoutimi-Nord, a-t-elle répondu.<br /><br />--<br />Les Madmen, c’est avant mon temps, mais l’atmosphère d’une présentation importante n’avait pas tellement changé. Une scène extrêmement prenante.Hélènehttps://www.blogger.com/profile/14346365807930177957noreply@blogger.com