tag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post23053890473733911..comments2023-03-24T07:27:11.012-04:00Comments on FacteurPub: Les amisMathieu Bédardhttp://www.blogger.com/profile/09959471988368196886noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-52229517353577842242010-06-14T09:11:06.444-04:002010-06-14T09:11:06.444-04:00Tu m'en vois vraiment flatté.
J'me relis ...Tu m'en vois vraiment flatté.<br /><br />J'me relis et suis un peu déçu de voir bien des fautes d'orthographe mais je suis très satisfait que tu considères le contenu pertinent. ;)Jordan Chénardhttp://www.jordanchenard.com/bloguenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-69602101743538574512010-06-13T12:49:04.657-04:002010-06-13T12:49:04.657-04:00Merci Jordan pour ton commentaire à la fois inform...Merci Jordan pour ton commentaire à la fois informatif et très «nourrissant» sur le plan théorique. À la fois très juste et inspirant. Ça complète très très bien mon billet. Bravo!Mathieu Bédardhttps://www.blogger.com/profile/09959471988368196886noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8642106137087383736.post-81672418554725841392010-06-11T15:29:12.817-04:002010-06-11T15:29:12.817-04:00(Je m’excuse… Tes sujets sont trop intérressant, j...(Je m’excuse… Tes sujets sont trop intérressant, je n’arrive pas à couper court à mes commentaires.)<br /><br />Ce que tu décris ici est une partie de ce que Kevin Roberts, CEO de Saatchi & Saatchi, appelle le Lovemark.<br /><br />« Loyalty beyond reason ». Pour le citer.<br /><br />Le principe est, à la base, toujours le même mais le modus operandi diffère d’une génération à l’autre. Martin Ouellette avait résumé de façon magistrale le pourquoi de la création d’une « âme » autour d’une marque dans une de ces conférences qui se trouve sur le net. En gros, le besoin d’intimité d’antan, nous rappellant le magasin général, est toujours présent. À défaut d’acheter de Monsieur Langevin au coin de la rue, on troque la personne pour une marque.<br /><br />L’arme à double tranchant de la création d’une marque c’est, qu’à l’image de l’héroïne, elle crée une dépendance. Le consommateur est en recherche constante de ce sentiment de valorisation, de bonification de lui-même et d’échange avec tout ce avec quoi il interragit. Mais le vrai trippe pour le consommateur, étonnemment, c’est l’anticipation de l’achat et non l’achat en lui-même.<br /><br />C’est l’attente, le désir qui crée le plus de dopamine au cerveau. Ne vous demandez plus pourquoi Apple présente ces produits 4 mois d’avance. C’est cette attente qui monte le niveau de dopamine à un point tel que les gens sont prêt à coucher dehors pour en avoir. La dopamine est un grand euphorisant qui fait voir la vie mieux qu’elle est en réalité. L’espoir que tout sera mieux encore.<br /><br />Cette dopamine ce présente aussi quand on anticipe un rendez-vous avec une jolie dame (ou monsieur, tout dépend) ou une soirée entre amis organisé depuis longtemps.<br /><br />L’intimité crée un lien de communication. La communication emmène le mysère. Le mystère crée le désir. Le désir crée la dopamine. La marque crée un disciple qui, une fois l’achat terminé et l’euphorie passée, redemande le même tour de manège.<br /><br />Freud le disait bien : « L’Homme est un être de désir ». Et moi d’ajouter souvent : « Si nous étions réellement un être de possession, nous n’acheterions pas 2 fois le même truc. » ;)Jordan Chénardhttp://www.jordanchenard.com/bloguenoreply@blogger.com